Au Mali, il est désormais possible d’utiliser son téléphone portable pour payer certains services publics tels que la carte d’identité, les contraventions de police et les actes d’état civil. 

Le Projet de développement de l’agriculture commerciale (PDAC), financé par la Banque mondiale en République du Congo, a mis en place un mécanisme de financement de contrepartie pour les microprojets agricoles. 

Dans le cadre de sa priorité « Accès aux services de base », ADA a récemment finalisé deux projets-tests axés sur l’accès aux énergies renouvelables dans les zones rurales au Sénégal et au Bénin, dont les résultats s’avèrent concluants.

Au Niger, le United Nations Capital Development Fund (UNCDF) exploite le potentiel de Habbanayé pour renforcer la résilience des communautés, l'autonomie des femmes et les liens communautaires dans une région qui a récemment connu une recrudescence des conflits.

Encore très peu de Malgaches sont inclus financièrement. La Grande île ambitionne d’ici à 2028 d’augmenter de plus de 50 % la population ayant accès aux services financiers formels.

Mastercard, entreprise technologique mondiale et acteur majeur des systèmes de paiement internationaux, s’associe au GIM-UEMOA, le schéma de paiement régional, pour accélérer la transformation numérique financière dans les pays membres de l’Union économique et monétaire Ouest-africaine (Uemoa).

L’Association internationale des opérateurs de téléphonie mobile (GSMA) a annoncé le mercredi 10 juillet le lancement d’une coalition pour faciliter l’accès aux téléphones portables utilisant Internet.

Pour améliorer l’inclusion financière dans les pays en développement, la Swiss Capacity Building Facility (SCBF) à travers des subventions d’assistance technique, soutient les fournisseurs de services financiers dans le développement de produits et services destinés aux populations mal desservies.

En 2017, ADA et la FAO ont lancé un programme visant à renforcer les capacités des institutions financières d'Afrique francophone pour mieux servir les petits exploitants agricoles. Ce programme offrait du coaching, une assistance technique et des subventions pour leur permettre de développer des services financiers et non financiers adaptés aux besoins des acteurs du secteur agricole. 

L'édition d'avril 2024 mettait l'accent sur le maintien de l’élan de la réforme de l'assistance sociale. Le rapport présente également une analyse préliminaire des effets potentiels du retrait du Burkina Faso de la CEDEAO, annoncé conjointement avec le Mali et le Niger en janvier 2024.